L’Autopilote d’une Tesla évite un accident qui aurait pu être grave

L’Autopilote d’une Tesla évite un accident qui aurait pu être grave
Innovation

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L’Intelligence Artificielle (IA) embarquée dans les voitures Tesla (l’Autopilote) vient encore de prouver son efficacité : un automobiliste a publié une vidéo de l’accident qu’il a évité de justesse, grâce au coup de frein-réflexe de son Autopilote. Une preuve supplémentaire de l’efficacité des technologies numériques adaptées à l’automobile.

Ce n’est ni la première, ni la dernière fois : en décembre 2018, aux Etats-Unis, un automobiliste a évité un accident grâce aux réflexes incroyables de… l’Autopilote, l’IA qui soutient la conduite des Tesla.

« La Tesla a automatiquement freiné pour éviter le drame »

La voiture venait de se rabattre d’une file, dans un trafic assez dense. Le véhicule devant lui a violemment percuté une voiture qui venait de piler. Un conducteur classique n’aurait jamais pu intervenir assez tôt. Pour freiner à temps et évite la collision, il faut être pilote professionnel… ou une IA !

« La Tesla a détecté le ralentissement de la voiture en face de la voiture devant moi, et a automatiquement freiné pour éviter le drame », explique le conducteur de la Tesla. Dans le détail, les capteurs et caméras de la Tesla ont repéré, en une fraction de seconde, le brusque ralentissement de la voiture de devant, conséquence probable d’un accident. L’IA a alors décidé, d’elle-même, de ralentir fortement afin d’éviter de percuter la voiture accidentée de devant.

Un soutien précieux à la conduite, en attendant les voitures autonomes

L’ensemble de la scène a été filmé par la caméra embarqué de la Tesla, et publié par la conducteur sur les réseaux sociaux. Ce cas est emblématique de cette capacité qu’ont les voitures du constructeur américain à voir et détecter des événements ou obstacles invisibles pour celui qui est au volant.

Tesla en a tout de même profité pour rappeler que l’Autopilote n’était pas une raison de conduire distraitement au volant d’une telle voiture. Que l’IA puisse réagir plus vite que le conducteur, oui ; qu’elle se substitue à lui, non. Du moins, tant que l’avènement de la voiture autonome n’est pas une réalité.